Paul Lou Sulizer - Les maitres de la vie

Les maitres de la vie

Paul Loup Sulitzer



"Une jeune femme, Geneviève, et son fils Cédric, qu'on tente d'assassiner dans la forêt de Fontainebleau. Non loin de là, l'AMPIR, une société de protection et de renseignements à l'échelle mondiale, fondée par Jullius Kopp, un ancien des services secrets. Son enquête pour protéger Genevièe le mènera au Québec, à Zurich, à Rome, sur la trace d'hommes mystérieux, accompagnés d'enfants qui disparaissent dans des cliniques de luxe...
Dans un monde où s'épuise la rentabilité de la drogue et du crime ordinaire, voilà qu'apparait un nouveau trafic aux énormes profits, celui de la matière humaine : reins, cornées, coeurs, épiderme, sang. D'un côté, des pays rqui n'ont plus que cela à vendre. De l'autre, des riches prêts à offrir des fortunes pour acheter la vie. Entre les deux, l'organisation - mafia, secte, entreprise totalitaire - décidée à faire de ce nouveau marché l'instrument de sa domination sur le monde...
Une fois encore, l'auteur de Tanzor, Cartel, L'enfant des sept mers nous enmène au coeur des enjeux et des périls de notre temps, avec le souffle et l'art du suspense qui lui ont valu des milions de lecteurs dans quarante trois pays."

Après avoir lu "Le mercenaire du diable", du même auteur, j'ai trouvé celui ci par hasard. Ayant gardé un bon souvenirde l'autre, j'achète donc "Les maitres de la vie".
Je n'ai pas été déçue. Le uspense était au rendez vous, les personnages, dignes d'eux mêmes ( ... ). Le récit fait voyager, en m^meme temps que Julus Kopp. Cet auteur est probablemnt le seul qui m'ai donné envie de me rendre à l'étranger dans l'unique but de voir les rues qu'il décrit dans ses bouquins.
Le style employé dans ce bouquinest éfficasse. Mais je me suis rendue compte qu'il différait peu de l'un à l'autre. Le récit manque d'authenticité, de spontanéité. On le devine construit de façon méthodique sur un plan prédéfini. On retrouve les mêmes éléments de surprise que dans les mercenaires du Diable, la même touche érotique, et globalement les mêmes remises en question du personnage principal. Si cela donne de la consistance, de la crédibilité au contenu ( personnages construits, toujours agissant de façon logique, en fonction de leur caractère propre ), il y perd la "magie" ( l'étincelle) qui fait la diférence entre un bon livre et un livre excellent.

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